Alors que tous les observateurs reconnaissent que la politique migratoire de Bruxelles est une catastrophe, la Commission de Bruxelles tente, depuis des mois, d’obtenir un accord avec les États membres sur son funeste pacte européen sur les migrations et l’asile.
Cette révision de la politique migratoire communautaire, en plus d’engendrer l’arrivée de 60 à 70 millions de migrants en quelques années, vise à répartir obligatoirement dans toute l’Europe l’immigration de peuplement voulue par l’UE.
Au regard des conséquences identitaires, sécuritaires, sociétales et financières, on pourrait comprendre aisément les raisons pour lesquelles les discussions sur ce texte sont au point mort. Mais le Vice-président de la Commission européenne, Margaritis Schinas, vient très certainement d’en donner le véritable motif.
En effet, dans un entretien accordé au média européen « Euractiv », ce dernier a déclaré qu’ « immédiatement après les élections françaises, l’Union européenne entrera dans un processus très rapide de convergence et d’accord final ». La Commission européenne préfère donc reporter l’application de ce pacte migratoire après nos élections présidentielles, histoire de ne pas gêner la campagne d’E. Macron.
Il faut donc bien comprendre qu’en cas de réélection de ce dernier, la politique migratoire de la France se combinera avec celle de l’Europe de Bruxelles pour le plus grand malheur de notre peuple.