Mardi dernier, une courte majorité de députés européens s’est opposée à l’inclusion du gaz et du nucléaire dans la taxonomie verte européenne. Pour rappel, en février dernier, la Commission européenne avait adopté un texte permettant d’inclure le gaz et le nucléaire dans les énergies de transition. Cette mesure visait donc à soutenir financièrement ces énergies dans le cadre de la transition écologique. Logique, surtout pour le nucléaire qui est l’énergie verte la plus efficiente actuellement. Malheureusement, un bloc d’union allant du centre à l’extrême gauche et passant par les écologistes a rejeté cette proposition.
En rejetant ce texte, ces députés déconnectés de la réalité oublient une fois de plus le peuple.
C’est leur idéologie qui a guidé leur vote, et non le quotidien des millions d’Européens voyant leurs factures énergétiques augmenter et leur pouvoir d’achat s’effondrer.
Ce résultat est symbolique. Il représente à lui seul une réelle défaite pour le climat et pour les Européens. En rejetant le nucléaire, l’Europe se destine à un avenir tourné vers des énergies impropres comme le charbon ou peu efficaces comme l’éolien. Alors que l’Union européenne souhaite adopter le « tout électrique », il est évident que les énergies promues par Bruxelles ne pourront jamais subvenir à nos besoins.
Il reste encore une chance de soutenir le nucléaire et donc notre industrie et notre savoir-faire lors de la prochaine séance plénière de juillet. Vous pouvez compter sur vos élus du Rassemblement National pour défendre ce fleuron énergétique totalement décarboné mais aussi votre pouvoir d’achat, cruellement impacté par la crise énergétique.