Après l’été meurtrier qu’a connu la France, Strasbourg subit à son tour les effets d’une insécurité qui s’enracine dans nos régions françaises.
Le 26 août, deux jeunes femmes, Luane et Claire, y ont été rouées de coups pour avoir refusé les avances d’un mineur. Le 18 septembre, à Strasbourg toujours, près de la médiathèque Malraux, Elisabeth, étudiante de 22 ans, a été traitée de « pute » et de « salope », puis frappée, par trois hommes qui lui reprochaient…de porter une jupe ! Ceci s’est déroulé devant une quinzaine de témoins qui n’ont pas réagi. Que ce soit par peur des représailles ou par peur de la justice qui s’en prendraient à eux, cette lâcheté collective contribue au délitement tous azimuts de la société française.
Les femmes, malgré les effets d’annonce de Mme Schiappa, sont de plus en plus souvent la cible de violences dans l’espace public. À travers ces violences envers les femmes s’instaure un « code de la rue » qui n’a rien à voir avec la culture française. Les Françaises sont placées devant un choix. Se soumettre à la règle selon laquelle seule la femme couverte est digne de respect. Ou devenir la cible ou l’objet sexuel des caïds. La situation est aggravée par le fait que les agresseurs se savent à l’abri de toute sanction dissuasive de la part d’une justice française dont le laxisme incompréhensible ulcère les honnêtes gens.
L’insécurité que subissent spécialement les femmes et les adolescentes est directement liée au processus de séparatisme culturel et communautaire qui se développe en France et en Europe, au même rythme que l’invasion migratoire. Le manque d’éducation familiale existant au sein de nombreuses familles ne possédant pas les codes culturels propres à la bienséance française devient criant. Si les pères et les mères n’éduquent pas leurs fils, comment ceux-ci pourraient-ils respecter les autres ?
Que les Strasbourgeois comme tous les Français le sachent : le Rassemblement National auquel je m’honore d’appartenir ne les oublie pas. Dénonçant depuis des décennies les causes de cette situation, nous serons là demain pour en faire cesser les conséquences.
Arrêt de l’immigration, expulsion des expulsables, rétablissement d’une échelle des peines réellement dissuasives. Les solutions existent et nous avons la ferme volonté de les appliquer.
En attendant, éduquez vos fils!