Présentant devant les parlementaires européens ses priorités pour l’Europe, dans le cadre de la présidence française du Conseil de l’Union européenne, E. Macron s’est refusé à la mise en place de barrières physiques aux frontières extérieures de l’UE, comme le réclament 16 États membres.
Le Président a souhaité la suspension des contrôles aux frontières intérieures. Il a défendu un accueil partagé de l’immigration submersion entre les États membres, dont certains y sont opposés.
Le président n’a rien dit sur une potentielle refonte de la directive retour qui, aujourd’hui, légitime le séjour irrégulier des clandestins en Europe et favorise donc l’immigration clandestine.
Comme si cela ne suffisait pas, E. Macron a indiqué vouloir imposer la reconnaissance de l’avortement dans la charte des droits fondamentaux, sujet relevant pourtant de la compétence des États membres.
A l’approche de la fin d’un quinquennat chaotique, durant lequel les crises sociale, migratoire et sécuritaire n’ont fait qu’empirer en laissant une France au bord de la décomposition, E. Macron exporte au niveau européen le chaos français qu’il a provoqué.