Lundi 16 mai prochain, sera soumise au vote des élus municipaux de Grenoble, une délibération proposée par le maire Europe-Ecologie-Les Verts, Eric Piolle, visant à autoriser le port du Burkini dans les piscines de la ville, au prétexte d’un « progrès social »…
Acoquiné à des associations communautaristes, le maire de Grenoble, comme bon nombre de ses amis écolos d’extrême-gauche, se fait donc le chantre de l’islamisme politique dans sa ville.
Ces associations, telle que l’Alliance citoyenne, dont l’emprise sur le premier magistrat de Grenoble soulève nombre de questions.
Derrière la défense de thèmes imposés dans les années 1980 par la gauche bien-pensante à des fins électoralistes, tels que l’inclusion, la mixité et la tolérance, ces associations promeuvent en réalité un islam politique et rigoriste dont l’objectif n’est autre que de faire vaciller nos valeurs républicaines pour mieux imposer à tous leurs us et coutumes religieux.
Ces liens entre élus de notre République et islamisme politique se transforme, sans aucun complexe, en une soumission à l’islamisme politique.
Des exemples de cette soumission ont été déjà constatés par le passé, mais leur vocation ne visait qu’à chercher à assurer une réélection par clientélisme électoral…
Aujourd’hui, le phénomène n’est plus le même puisqu’il s’agit d’une adhésion idéologique d’élus à des doctrines totalitaires ambitionnant de conquérir nos sociétés européennes.
Quelles seront donc les prochaines initiatives de M. Piolle et de ses amis pour satisfaire ses soutiens islamistes ?
Proposera-t-il, comme viennent de le faire ses collègues talibans administrant la ville d’Hérat en Afghanistan, l’interdiction pour les hommes et les femmes de manger ensemble au restaurant, y compris s’ils sont mariés, ceci au motif de la défense de principes féministes et des violences faites aux femmes ?
Jusqu’où ira le détournement de nos valeurs ?
Alors, faut-il en vouloir à ces seuls élus dont le républicanisme corrompu les transforme en fossoyeurs de notre mode de vie, de nos traditions et de notre identité ?
En effet, les plus hautes sphères européennes démontrent quotidiennement, elles aussi, leur compromission à l’égard de l’islam politique et leur porosité avec l’idéologie salafiste.
La Commission européenne qui lance des campagnes de communication promouvant le port du voile, qui subventionne des organes de propagande islamiste avec les fonds alloués à la recherche, ou qui finance allègrement, au nom de la lutte contre l’islamophobie, nombre d’associations islamistes proches des frères musulmans avec le denier des contribuables européens.
Le Parlement européen qui, pas plus tard que le 3 mai dernier, par l’intermédiaire d’un de ses vice-présidents et membre du groupe socialiste, accueillait lors d’une conférence sur l’islamophobie, deux islamistes dont un salafiste français, fiché S !
Si l’on dit que l’exemple vient d’en haut, il est certain que ces exemples de complicité active des institutions européennes à l’égard de l’islamisme ne peuvent que renforcer les projets politico-religieux d’élus comme M. Piolle.
Avec le projet de loi visant à combattre l’idéologie islamiste, que nous proposions aux Français avec Marine Le Pen, M. Piolle n’aurait jamais pu soumettre aux élus municipaux cette délibération autorisant le port d’un vêtement faisant l’apologie de l’islamisme.
Avant qu’il ne soit trop tard, les Français dire STOP à l’islamisation de la France, pour eux, leurs enfants et petits-enfants !