En Arabie Saoudite, le Prince Khaled Bin Alwaleed et des représentants du culte musulman souhaitent appeler les Saoudiens à remplacer le sacrifice du mouton de l’Aïd (31 juillet 2020) par un don au profit des plus démunis ou victimes de la pandémie. La Fondation Brigitte Bardot a relayé cette proposition raisonnable.
En France, ce n’est que dans les années 80 que les associations musulmanes ont commencé à revendiquer leur droit à l’abattage Halal. Chaque année environ 4 millions de moutons sont abattus avec un pic lors de l’Aïd el-Kebir. Plus de la moitié des bovins, ovins et caprins sont tués selon un abattage halal, c’est-à-dire qu’ils sont encore conscients lorsqu’ils sont saignés. Souvenons-nous des vidéos insoutenables publiées par l’association L214 d’animaux abattus sans étourdissement.
Certaines sociétés vous proposent de « réserver dès maintenant votre sacrifice ». Elles s’engagent à vous livrer un agneau certifié « élevé en Irlande » et sacrifié dans la douleur Halal. Tout cela pour 180 euros ! C’est les soldes avant l’heure !
Dans le même temps, une association islamophile de Mulhouse, le secours palestinien, propose de payer le sacrifice de moutons par des palestiniens et à demander le remboursement de 66% de la somme sur les impôts dus à la France ! Pardon, mais ce n’est pas aux Français de financer des pratiques religieuses et qui vont à l’encontre du bien-être animal !
Parce que les vétérinaires et les Français n’ont jamais voulu la douleur de l’abattage ;
Parce que certains musulmans acceptent nos lois et nos traditions en Suède, en Allemagne et ailleurs en Europe ;
J’appelle le Ministre des Finances, Bruno Le Maire, à refuser la déductibilité des financements de « sacrifices » qui ignorent la souffrance animale.