Alors que le Parlement européen déclare que l’objectif principal du fonds de sécurité intérieure est d’assurer un niveau de sécurité élevé de l’Union européenne, celui-ci, initialement de 2,76 milliards d’euros pour la période allant de 2014 à 2020, vient de passer à 1,931 milliard d’euros pour 2021 à 2027.
A l’inverse du fonds Asile, Migration et Intégration, affecté à la gestion de l’immigration, qui vient d’être multiplié par trois, passant de 3,137 à 9,882 milliards d’euros.
Ainsi, le fonds destiné à lutter contre le terrorisme, la radicalisation, la criminalité organisée, la cybercriminalité, mais aussi pour aider et protéger les victimes, est donc entaillé de près d’un milliard d’euros.
L’Europe de Bruxelles fixe donc ses priorités politiques et idéologiques en orientant l’argent des européens, non pas pour assurer leur sécurité, mais pour favoriser la submersion migratoire de l’Europe, l’un des terreaux du communautarisme et du terrorisme.
Les chiffres parlent, ils sont accablants.