Depuis le début de la crise du coronavirus, les restructurations d’entreprises se multiplient, souvent accompagnées de « départs volontaires « et de suppressions d’emplois. A l’évidence, certains grands groupes profitent de la situation pour dégraisser sur l’autel du mondialisme.
Bridgestone à Béthune va fermer avec 800 salariés au tapis, l’Américain General Electric pourrait supprimer plus de 760 postes, quelque 5 000 emplois sont menacés en France chez Airbus, 4 600 chez Renault, un millier chez l’équipementier automobile Valeo, près de 1 500 chez Auchan… A cela s’ajoutent les coupes actées chez Beneteau, Camaïeu, Nokia, ou Sanofi.
Entre le 31 décembre 2019 et le 30 juin 2020, on a perdu environ 700 000 emplois marchands et non marchands, selon l’Insee, dont près d’un tiers étaient des postes en intérim.
La COVIDー19 ne doit être ni un paravent, ni un prétexte, à la crise économique.
Comme par grand hasard, ce sont ces mêmes grandes entreprises qui distribuent à leurs actionnaires de généreux dividendes et qui délocalisent à tout va, tout en demandant des aides publiques en prétextant des difficultés.
Tous ces salariés qui voient leurs emplois menacés, leurs vies remises en cause par des choix ouvertement antipatriotiques, n’ont pas besoin des larmes de crocodiles d’un Bruno Le Maire, mais de vraies solutions et perspectives d’avenir.
Avec Marine Le Pen, nous prioriserons le bien-être de nos compatriotes, le patriotisme économique, le protectionnisme intelligent et la souveraineté nationale dans le cadre d’un Etat stratège.
Français, réveillez-vous !