Jeudi 16 juin, la très wokiste commission des droits de la femme du Parlement européen a adopté un rapport encourageant les États membres à adopter des lois pénales et civiles interdisant les discriminations « intersectionnelles » (multiples formes d’oppressions subies par un seul individu) responsables, selon ce texte, de la non intégration des immigrantes extra-européennes, et de leurs enfants.
En effet, selon lui, « les systèmes éducatifs hautement sélectifs et la faible sensibilité interculturelle de leur personnel ont une incidence négative sur les résultats scolaires des minorités ethniques ». Pour y remédier, il est donc préconisé de « promouvoir le multiculturalisme, les échanges culturels entre les élèves et de réduire la sélectivité de ces systèmes ». En clair : encore et toujours plus d’immigration et un nivellement par le bas de l’enseignement !
A l’heure où des élèves passant le baccalauréat ne connaissent pas le sens du mot « ludique », marquant l’effondrement du niveau scolaire, les rapporteurs préfèrent contribuer à cet enlisement pour faciliter l’intégration d’individus qui, bien souvent, rejettent notre mode de vie !
Ce rapport, comme tant d’autres, n’a qu’un seul objectif, celui de contraindre les peuples européens à accepter la submersion migratoire et la disparition des civilisations européennes alors que la priorité de nos dirigeants devrait être l’amélioration de notre système scolaire et la défense de nos frontières face à l’immigration incontrôlée !