Au moment où l’on apprenait que près d’un tiers des réfugiés ukrainiens arrivant en France n’était aucunement Ukrainien, le quotidien allemand BILD a révélé, le 14 mars dernier, qu’une réfugiée ukrainienne, âgée de 18 ans, aurait été violée par deux autres réfugiés… originaires d’Irak et du Nigéria.
Les faits se seraient déroulés, le 6 mars dernier, à Düsseldorf, sur le bateau-hôtel « Oscar Wilde » servant de centre d’hébergement pour les réfugiés de la guerre d’Ukraine. Une enquête a été ouverte par la police allemande pour « suspicion de viol » mais aussi pour déterminer comment les deux auteurs présumés ont pu obtenir des passeports ukrainiens.
Par ailleurs, la Police allemande aux frontières a indiqué à la presse qu’elle rencontrait de plus en plus souvent de réfugiés qui ne viennent pas directement d’Ukraine mais d’Afrique.
Si les Français soutiennent l’accueil des réfugiés Ukrainiens, cette légitime solidarité ne doit pas être détournée au profit de migrants, souvent originaires d’Afrique ou du Moyen-Orient, à l’instar de ceux accueillis par le député (ex-LREM), Aurélien Taché, qui n’ont pas véritablement de lien avec le peuple Slave.
De réels contrôles aux frontières doivent être mis en place pour permettre l’accueil des véritables réfugiés de guerre Ukrainiens, faute de quoi l’élan de fraternité des Européens et des Français n’aura contribué qu’accentuer encore un peu plus la submersion migratoire.